Poèmes

J'ai fais de nombreux poèmes mais en ce moment j'en fais sur les lycanthropes donc pouvez vous me dire ce que vous en pensez s'il vous plait et je serais heureuse de voir vos crétions ^^ (peux pas tous mettre j'en ai pas mal.)


Un amour interdit

Les soirs de pleine lune
Mon cœur hurle.
Il t’appelle et te réclame
Il fait couler de mes yeux des larmes.
Il se tord de douleur
Et se meurt.
Il a besoin de toi
Et pourtant tu n’es pas là.
Tu m’as menti
Tu m’as trahi,
Moi qui t’ai tout donnée
Pour toi j’étais prête à me sacrifier
Si tu ne m’avais pas abandonnée.
Mais qu’elle idiote je suis
Pour m’être laissée embobinée ainsi.
Je croyais
Que tu m’aimerais
Tel que j’étais
Mais je ne te ressemble pas,
Je ne suis pas comme toi,
Et du coup tu as peur de moi.
Je te dégoûte et t’effraie
Mon rêve vient de se briser.
Lorsque tu as vu mon véritable aspect,
Tu as prit peur et t’es enfui
Sans me laisser le temps de t’expliquer
Je ne t’ai plus jamais revu depuis.
Et chaque nuit c’est pareil
Je hurle et t’appelle.
J’ai beau savoir que tu ne reviendras pas
Mon cœur refuse de me croire
Et je continuerai de te chercher
Pour l’éternité.
Toi humain et moi loup-garou,
La lune s’est bien moquée de nous.

Lauriane (Arkanne)
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Lycan

Dans la nuit noir
La lune se lève doucement vers le ciel
Et vous devez me croire
Ne faite pas attention à sa couleur miel.
Aux yeux des loup garou
Vous n’êtes que pour nous
Une proie que l’on ne peut chasser
Notre espèce serait menacée.
Personne ne connaît notre existence
Pourtant nous sommes là depuis l’enfance.
Et vous pouvez nous voir
Seulement le soir
Lorsque la pleine lune arrive
Nos âme, à nous, dérives.
Nous ne sommes plus maître de notre corps.
Faites attentions on mord.
Loin de nous l’idée
De vouloir vous tuer
Mais ne croisez pas notre chemin
Ou on mettra un terme à votre destin.
Ne croyez pas que nous sommes méchants
Nous, les lycans.
Nous n’avons pas la même vision du monde,
A votre contact on perçoit notre tombe.
Les humains ont peur de nous,
Pourtant nous ne sommes rien d’autre que des loups.
Nos ongles sont griffes et nos dents sont crocs
Et nous avons l’impression d’être de trop.
A preuve du contraire on ne vous à jamais tué
Alors arrêtez de nous traquer.
Nous ne sommes pas tous de grand chasseur
Et rappelez vous : nous avons un cœur.
Vous nous voyez comme des loup mutant,
Certes nous sommes différents
Mais au fond
Nous nous ressemblons
Vous nous chassez et nous vous chassons.

Lauriane (Arkanne)
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Dans la nuit noire
Très tard le soir,
Dans la forêt éclairée par une lune ronde
Pour vous nous sommes des créatures immonde
Sorties de l’ombre.
Mais êtres mi louve mi humaine
Ou est le problème ?
Nous sommes juste des enfants de la nuit
Mais pour vous, sans vie.
Nous ne sommes pas tous dépourvu de sentiments,
Essayez de nous voir autrement.
Nous chassons pour nous nourrir
Et non par pur plaisir.
Moi qui déteste les humains
Je ne peux vous tuer
Mais je le ferais de mes propres mains
Si je le pouvais.
Vous avez tué mes amis,
Vous ne nous laissez aucun répit.
Si nous vous dévoilons notre véritable aspect
Vous n’hésiterez pas à nous transpercer.
Une balle d’argent
Rien de mieux pour pourrir notre sang.
Notre espère est menacée
A part nos crocs et nos griffes nous n’avons rien pour nous protéger.
Vous ne nous croyez pas digne de confiance
Mais laissez nous au moins une chance.

Lauriane (Arkanne)

Tu manies bien la plume jeune Arkanne, aussi c'est avec plaisir et mélancolie que j'ai parcouru tes vers. Point d'alexandrins, ils ne sont pas nécéssaires ici, la seule force de tes idées suffit à faire comprendre ton message. Couches ici-bas d'autres de tes écrits, c'est avec satisfaction que je m'en abreuverai.

Petite préférence pour le deuxieme quand même

Ils sont tres beau tes poeme ^^

Je vous remerci ^^ j'adore écrire ce genre de chose. Ils sont tous sur un skyblog à moi mais le début de celui ci est réservé à un manga mais la fin en est remplit!

En voici un sur les démons en particulier!

Quand tout le monde dort
Qu’aucune vie
Ne sort de ces corps
Endormis et meurtris
Des créatures de la nuit
Sorte et ries.
Bienvenu dans le monde du fantastique
Notre terre est magique
Mais il faut le voir
Pour y croire.
Les démons sortent
Les créatures humaines sont mortes.
Ce n’est pas un rêve n’y un cauchemar
Il est juste trop tard
Pour ouvrir les yeux
Et vivre heureux.
A force de se croire invincible
Vous nous avez prit pour cible
Mais nous ne sortons que la nuit
Quand vous êtes endormis !
Nous avons tous un démons qui sommeille
Mais à son réveil
Nous devenons fou
Incapable de nous contrôler
Nous sommes hors de nous
Quand la lune est levée.
Enfants de la nuit et de l’obscurité
Nous sommes ici pour vous tuer
Mettre fin à vos vie
Vos rêves et vos envies.
Nous vous enveloppons
D’un drap de brume
Et nous vous emmenons.
Ne vous attendez pas à voir des plumes
Nous ne sommes pas au pays des ailes blanches
Ou plutôt des anges
Nous sommes au pays des flammes
Ou air nos âmes
Un monde de fumée
Ou règne l’immortalité.
Ne venez pas nous chercher
Ou vous le regretterez.
Démon nous a-t-on appelé
A cause de nos capacité.
Vous dites que je suis anormale
Que je suis donc une fille du diable.
Croyez moi ou non
Nous ne sommes pas tous les enfants
De Satan !

Lauriane (Arkanne)

ou la vache tu es doué

Merci beaucoup ^^

Encore de petites erreurs de synthaxe, tout est perfectible, je ne m'en lasse pas... Vous avez du talent ma jeune amie...

Ne vous êtes vous jamais mise à l'écriture d'Essais?

euuuuu... (vous allez me traiter d'inculte) mais c'est quoi?

Des Essais sont de petit texte, de petits romans, d'une trentaine de pages... Pas assez gros pour être des livres, mais bien assez grand pour y compter des histoires...

Aaaaaaaaaaaaaaa... (compris) Non je n'ai jamais essayé ^^ je fais pas mal de présentation de personnage avec leur histoire mais je n'ai jamais essayé d'en faire une vrai avec une fin et tout!

Un petit conte fanstastique, quelques chose du genre... L'ecriture permet souvent d'évacuer les maux que l on renferme. Et puis le temps que l on ecrit, on pense à autre chose et nous évite de ressasser les problèmes... On dit que la musique adoucie les meurs, la plume aussi

J'ao prit l'habitude de faire mes textes en musique. Le dernier poème que je vous ai envoyé je l'ai fais en écoutant Epica the pantom agony. Sinon en rédaction j'ai souvent d'assez bonne notes (sans vouloir me venter) surtout lorsqu'il sagit de faire un récit fantastique ^^ j'adore ce genre d'histoire qui touche l'iréelle ou le surnaturelle ou des choses que l'on ignore.

Arkanne a écrit:

(...)j'adore ce genre d'histoire qui touche l'iréelle ou le surnaturelle ou des choses que l'on ignore.

je suis bien du même avis que vous sur ce point là ^^

Joli coup de plume, en effet le secon estpas mal!
a quand d'autre???


Sinon, pour les essai, mad tu as deja lu ceux de montaigne? car je croit quil a pas capter la 30 aien de page!


Pour en revenir au poemes, en voila un de tres beau, voire le plus beau poème d'amour!

vampire de baudelaire ( les fleurs du mal )


Le vampire
Toi qui, comme un coup de couteau,
Dans mon coeur plaintif es entrée ;
Toi qui, forte comme un troupeau
De démons, vins, folle et parée,

De mon esprit humilié
Faire ton lit et ton domaine ;
- Infâme à qui je suis lié
Comme le forçat à la chaîne,

Comme au jeu le joueur têtu,
Comme à la bouteille l'ivrogne,
Comme aux vermines la charogne,
- Maudite, maudite sois-tu !

J'ai prié le glaive rapide
De conquérir ma liberté,
Et j'ai dit au poison perfide
De secourir ma lâcheté.

Hélas ! le poison et le glaive
M'ont pris en dédain et m'ont dit :
" Tu n'es pas digne qu'on t'enlève
A ton esclavage maudit,

Imbécile ! - de son empire
Si nos efforts te délivraient,
Tes baisers ressusciteraient
Le cadavre de ton vampire ! "


Sinon, celui d'une amie que je trouve triste a souhait, belle mélancolie déversant sur la colère laplus profonde :

Deux parfums




Deux expressions pour deux fragrances, deux parfums pour deux passages de l'existence : « Ca respire la vie », et « Ca sent la mort ».
Sentiment de bonheur, impression de chaleur, il suffit d'un quart d'heure pour que cette douceur sente la froideur de la faux de malheur d'une mort qui fait peur. Adoucissement de l'esprit, apaisement de l'âme, mort dans un cri, corps dans des flammes, la mort a coupé sa gorge, l'outil sortait de la forge, gouttelettes de sang pur pour une vitre de voiture. Véhicule en débris, justice absente, inhumation ; courte vie, mort lente, coma profond. Quelques années de misère pour finir sous terre, ces quelques jours passés ici restent un mystère, pourquoi venir au monde pour partir aussi vite ? Réflexion immonde qui depuis longtemps m'habite, cette incertitude que nous avons tous en nous, doute qui rend notre vie floue, n'est-elle pas de nature à rendre fou ?
Démon de l'agonie, ombre du trépas, pourquoi t'en prendre à ceux qui ne le méritent pas ? Priver les innocents d'un instant clément, d'un moment charmant, avec le tranchant de ton instrument dément ? Par ta faute, l'Homme est un pantin que tu occis avec un plaisir malin, dédain certain, il devient entre tes mains celui qui, au matin de son existence respire de l'oxygène et, le soir même, n'est plus qu'une odeur qui gène, cadavre défait loin de son havre de paix.
Cette fille aux traits si doux, marquée par tes coups, peau couverte de cicatrices, gorge ouverte, sang qui glisse, sirènes rouges à tombeau ouvert et pneus qui crissent, qu'a-t-elle fait pour que tu décides de l'enlever de manière si rapide ?
Ambulance, peut-être une chance. Hôpital, ambiance glaciale. « Ca sent le sapin », aboie un infirmier, imaginant déjà le corps dans son écrin de bois, enterré à six pieds. N'aie crainte, être sans respect, l'heure de ton étreinte avec la mort va sonner.
Tendre silhouette dans un lit de fer, odeur âcre de remèdes médicaux, telle la blanche dans son cercueil de verre, douleur, massacre de ses organes vitaux. Trop de sang a coulé, commotion cérébrale, sous le choc a cédé sa colonne vertébrale ; l'innocence de sa jeunesse repose encore sur sa tête, l'absence de ses sens l'empêche de lutter contre la machette, instrument de la mort qui tranche toujours sans remords.
Ironie de la vie, jeu de la langue, qui offrent ici à son corps exsangue, une dernière rime avant que son souvenir ne tombe dans les abîmes : il y a vingt ans, ces quelques mots « au lit, sois sage, dors », maintenant tes yeux sont clos, joli visage mort.

Par Elinae Dei


Sur ceux...allez pleurer en paix!

OUAAAAAAA... j'adord le dernier je le trouve magnifique. Il est très bien écris et très réaliste de très jolis vers et tout je suis impressionée!

Le problème c'est que se poème est uen histoire vraie, d'où le réalisme, et quand on sait sa...

tres beau athan ^^

La mort peut dessider de venir nous prendre à n'importe qu'elle moment et il est rare qu'elle retourne sur sa dessision. On ne peut pas faire grand chose lorsqu'elle nous à prit pour cible. Des personnes auquels on tient, on en pert tous au fur et à mesure que la vie passe ce qui est bien embêtant. Mais le pire c'est lorsque l'on meurt alors qu'on n'avait aucune raison de mourire ou qu'on a dessidé d'aller chercher la mort avant qu'elle ne vienne nous prendre.

exactement, et quad tu voit la scène, tu imagine pas ce que sa peut faire!

Bonjour tout le monde. Je m'excuse de ne pas être venu depuis bien longtemps. Je vous laisse un denrier poème pour m'excuser.


La transformation.



Très tard le soir,

Quand tout est noir

Et que la lune ronde se reflète dans nos regards,

Nous quittons cette enveloppe charnel

Non pas pour monter vers le ciel,

Ni pour descendre vers l’enfer,

Nous restons sur terre.

Nous changeons de forme,

Quittant cette apparence d’homme

Pour prendre un corps fort nouveau

Même pour nos louveteaux

Et oui c’est nous

Les loups-garous.

On dit que de l’enfer nous sommes les gardiens

Mais ne croyez pas que votre malheur sort de nos mains.

Nous ne sommes pas tous des démons,

Dépourvut de raison

Nous ne sommes pas tous assoiffés de sang

Et nous ne sommes pas tous dépourvu de sentiments.

Nous n’avons aucun pouvoirs magique

Mais les humains ont peur de mot fantastique.

Nous ne sommes pas tous méchant

Même si nous nous nommons lycan.

Dans nos yeux brûle un pentacle.

Magnifique est ce spectacle.

Notre transformation achevée

Dans vos maison il faut vous enfermer

Car même si nous ne sommes pas tous détestable

Nous sommes loin d’être tous contrôlable.

Les légendes humaines

Font de nous des êtres remplis de haine.

Et nous sommes les enfants,

De cette lune couverte de sang.



Lauriane.

il est de toi?
c'est beau

Merci Jason. Oui il est de moi.

waaaaaaaaaoooooooooooooooooouuuuuuuuuuuuuu!!!
trop bieeeeeen.
moi jpeux pas les dire c'est du morbide datant de mon ex depression -_-°

XD tu n'as pas à t'en faire. Si tu lis ceux de mon blog je te jure que ça ne parle que de suicide, de mort, de souffrance...